Moi j'avoue, je suis la première à avoir peur ! J'ai toujours peur que mon pneu , il zwuip dans un virage
.
Il paraît que tout çà c'est psychologique , en plus
http://www.lerepairedesmotards.com/forum/read.php?3,971862,971862Alors quand j'ai trouvé cet article, jme suis dit que ce serait cool de le faire partager
http://www.motomag.com/10-conseils-pour-conduire-sous-la-pluie-a-moto.htmlAvec des conditions météorologiques exceptionnelles pour la saison, voici dix conseils pour adapter sa conduite sous les pluies diluviennes de ce mois de mai 2013.
1) Sous la pluie anticipation = survie
Doubler les distances de sécurité pour pallier le manque d’adhérence lié à la route trempée.
Un automobiliste freine, je freine aussi en contrôlant les rétroviseurs. Mieux faut freiner trop tôt que trop tard.
2) Voir, toujours voir
Votre visière doit être équipée d’un système anti-buée. Si la buée persiste, faites régler le problème chez un professionnel.
3) Garder les mains au sec
Des gants étanches sont indispensables pour garder le « feeling » sur le levier de frein.
4) Le reste du corps
Pour lutter contre la pluie, il faut logiquement s’équiper d’une combinaison pluie et de bottes étanches. Moins on sera gêné par l’inconfort de vêtements trempés, plus on pourra se concentrer sur la conduite.
5) Les pneus
Vérifier que ses pneus sont en bon état. Un pneu fatigué évacue moins bien l’eau ce qui favorise les risques d’aquaplaning. Éviter autant que possible l’usage de pneu piste homologué pour la route. Vérifier aussi la bonne pression des gommes.
6) La conduite
Adopter une conduite souple, sans accélération brutale au risque de perdre le contrôle de la roue arrière.
7) Le placement sur la chaussée
Si la route est propre, conduire dans les « traces » laissées par les autres usagers est conseillé.
Si la route est sale (débris, essence, graviers...) mieux vaut conduire sur le milieu de la chaussée. En cas de problème, le motard disposera de plus de marge pour surmonter l’imprévu.
8) Les virages
Adapter sa vitesse pour que la moto prenne le moins d’angle possible. Surtout ne jamais passer sur les lignes blanches, très glissantes sous la pluie.
9) Faire des pauses
La conduite sous la pluie est très fatigante, car elle requiert une plus grande concentration.
Faire des pauses régulièrement, le temps de se réchauffer et de reposer ses yeux particulièrement sollicités.
10) Verglas d’été : un phénomène trop peu connu
Lorsqu’une route a connu la sécheresse, il faut se méfier d’une averse soudaine.
Les multiples dépôts accumulés (huile, essence, poussière de frein) font surface avec une averse, rendant la chaussée particulièrement glissante, comme du verglas.
Le seul conseil viable est de ralentir.
Jean-Rémy Dubois - 21/05/2013